L’Opera

Cela faisait plusieurs semaines que j'étais rentré de mon petit voyage en Lorraine ou après tant d’années, j'avais retrouvé Thierry mon ancien amant. De retour à la maison, nous avions repris notre relation virtuelle, échangeant régulièrement par chat instantané discret, au travers desquelles une vraie relation était en train de s'établir. Dés lors, je ne pensais qu'à lui, cherchant tous les prétextes et alibis afin de pouvoir justifier un week-end loin de mon mari entre les bras de mon amant. Il manifestait lui-même son impatience virile de me retrouver ayant particulièrement bien apprécié notre après-midi en Lorraine.
- @Patricia : « Tu me manques mon amour, je veux t’avoir et te prendre dans mes bras. »
- @Thierry : « On va trouver une solution, je te le promets. »
Ni l’un ni l'autre ne manifestait une quelconque culpabilité envers nos époux respectifs, agissant comme deux adolescents, des tourtereaux amoureux ne se préoccupant aucunement de ce qui se passait autour d'eux. La solution arriva lors d’un dîner chez des amis via une de mes copines qui me proposa devant mon mari un week-end entre filles sur Paris. J'avais accepté avec plaisir demandant à ma copine discrètement de pouvoir me servir d'alibi pendant que je me rendais à Dijon. Une fois mon stratagème en place, j'annonçais ma venue à Thierry qui enchantait, me proposa tout un programme pour le week-end.
- @Patricia : « Tu arrives le vendredi en fin d'après-midi par le train, je t'emmène à l'opéra le soir, le samedi, je te ferai visiter le domaine et les vignes et le dimanche, je te ferai une petite balade dans Dijon avant que tu repartes. Nous serons tranquille car mon épouse sera en cure durant ce week-end"
J'étais impatiente sachant que même s'il avait prévu un programme chargé la réalité serait beaucoup plus sulfureuse. Le week-end arriva enfin, Richard me déposa à la gare, je pris le train de 14h pour Dijon sans aucun scrupule ou culpabilité, alors que ma copine partait en même temps à Paris.

2h plus tard j’arrivais en gare, ou m’attendait mon amour bien-aimé avec un grand bouquet de roses.

Je me jetais dans ses bras et l'embrassais, alors que tous les passants regardaient ce couple, et notamment cette bourgeoise qui attirait les regards avec son allure chic et distinguée. Un pantacourt taille haute en cuir noir avec ceinture au style glamour dont le bas était resserré et bouffant pris dans mes bottines, et un top en velours ajusté, à motif géométrique multicolore violet et beige à col montant très élégant ne cachant rien de ma poitrine voluptueuse, j’étais très appétissante. Il m’emmena dans une brasserie à proximité de la gare afin de nous désaltérer avant de m’emmener à l’hôtel.

- Je suis tellement heureux que tu aies trouvé un moyen de venir, ma belle.
- Je suis moi aussi si excitée à l’idée de notre week-end, qu’as-tu prévu pour aujourd’hui ?
- On va tout d’abord à l’hôtel, pour récupérer notre chambre, et prendre un peu de temps pour se préparer. Dîner à 19 H, car nous devons être au grand théâtre à 21H.
- Et qu’allons-nous voir, tu sais que ne suis pas une experte en opéra ?
- Ce n’est pas un opéra, mais les Chœur de l'Opéra de Dijon qui vont interpréter du Brahms et Debussy.
- Quel programme romantique, si je ne te connaissais pas déjà, je te soupçonnerais de me faire le grand jeu pour essayer de me séduire
- Je croyais que c’était déjà fait ma belle.
- Je te sens un peu impatient mon amour.
- Oui tas raison, belle, élégante et magnifique comme tu l’es, je ne vais pas pouvoir patienter longtemps, avant de te prendre et te baiser comme un fou.
- Coquin lubrique, et si on allait à l’hôtel maintenant ?
- Ma chérie ça fait juste 20 minutes que je suis avec toi et je bande déjà comme un fou, tu es une vraie petite garce.
- Je crois que c’est ce qui fait mon charme.
Il paya, me prit tendrement par le bras, tirant ma valise trolley, et me conduit vers le parking.
Il avait garé son immense Range Rover avec empattement long et vitres teintés au dernier étage. La voiture noire était immense transpirant le luxe et l’argent. Il posa ma valise dans le coffre avec mon manteau, et m’invita à monter, ouvrant la porte arrière qui laissait apparaître un large espace. Surprise, je plaisantais.
- Tu joues les chauffeurs, j’espère que tu as une casquette.
- Dépêche-toi de monter ma belle, je ne vais pas pouvoir patienter.
- Thierry, voyons-tu as vu l’heure en plein milieu de l’après-midi, tu n’y penses pas, j’espère, allons vite à l’hôtel.
Pour toute réponse, il me poussa à l’intérieur, et referma la porte derrière lui. Nous étions donc enfin tous les deux, sur cette banquette arrière de voiture, enfin seul, et j’avais compris que notre arrivée à l’hôtel était légèrement décalée.
- Tu m’excites trop dans tes fringues de bourgeoises parvenue, j’ai trop envie de te baiser, et avec les vitres teintées et ce coin tranquille, on ne sera pas dérangés.
Il se jeta sur moi, m’embrassant avec passion, m’attrapant par les cheveux de sa main gauche et me palpant mes gros seins de sa main droite au travers de mon pull en velours. Il ne prit pas beaucoup de temps pour les préliminaires, me retournant afin que je me positionne à quatre pattes sur la banquette, défit le zip de mon pantalon en cuir noir qu’il baissa à mi-cuisse, pour me pénétrer de son gros sexe, m’arrachant un premier cri de désir.
- Ohhhhhhhhhhhh, Thierry !!!!!
- Ouiiiiii ma belle salope ça fait un mois que je me branle sur les photos de ton gros cul, laisse-moi vite te défoncer....
- Ouiiiiiii, Ohhhhh tu es trop gros, doucement, Ohhhhhhh Ouiiiiii Vas-y, prends-moi !!!!!!!
- Hummmmm ; ce cul !!! Je vais te pilonner ma beauté, dis-moi que tu sens bien ma grosse bite.
- Ohhhh Ouiiii, je la sens vas-y défonce-moi, prends-moi comme ta grosse pute, je veux que tu me baises tout le week-end
- Oui, continue à me parler salope, dis-moi que tu es venue juste pour te faire défoncer !!!!
Il me pilonna, violemment et rapidement, accroché à la dentelle de ma culotte dont il avait coincé la lanière sur mon gros cul.
Après 6 semaines de séparation, et juste une demi-heure, ensemble, nous étions déjà en train de nous accoupler comme deux animaux. Un mâle en rut usant et abusant de sa femelle soumise et disponible. Il me saccageait la croupe, appliquant de grandes claques sur mon fessier, qui résonnaient dans cet espace confiné. Il était surexcité, violant mes reins comme si c’était nos dernières minutes à vivre. Je jouissais, amoureuse, docile, sexuellement en transe, mes yeux qui exorbitaient, et me pinçant les lèvres de mes dents afin de ne pas hurler de bonheur dans ce parking à heure de grande influence.
- Ohhhhh, je vais jouir sur tes grosses fesses, dis-moi que tu veux mon sperme beauté....
- Ohhhhhh, Ouiiiii, Non prends-moi, encore, continue de me baiser, pas tout de suite….
- Ohhhhh trop tard salope, je peux plus tenir.... Je vais tacher toutes tes fringues de bourge Haaaaaaaaaaa !!!!!!!!!!
Il se vida sur mes fesses tachant mon pantalon de son liquide blanc et chaud, avant de s’écrouler sur moi, m’embrassant et me caressant tendrement. J’aurais voulu que le temps s’arrête, que nous puissions rester ainsi tous les deux, mais le lieu public nous obligea de pas prendre plus de risque. Après s'être réajusté, il démarra, et nous conduisit à l’hôtel.

La Maison Le Bon était un hôtel de luxe dans le centre de Dijon, classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO. Composé de plusieurs bâtiments, classés aux monuments historiques ainsi que d’une cour intérieure de style gothique, l’hôtel disposait également d’un restaurant gastronomique proposant un service de convivialité et une qualité de service irréprochable. Au sein de l’hôtel datant du XVIIe siècle, des chambres luxueuses offraient un lieu de calme et de repos intimiste. Notre chambre de caractère était dans un bâtiment historique datant du 15e siècle, mêlant avec goût ancien et moderne, poutres et pierres avec un immense lit à baldaquin, canapé et fauteuils.

Il était 17h30, nous prenions donc un peu de temps pour se reposer blottis l’un contre l’autre dans ce grand lit, et parlant de tout et de rien.
Il était excessivement tendre doux et romantique me caressant avec tendresse alors que je me lovais contre son corps puissant. Vers 18H, je me dirigeais vers a salle de bain, ayant prévu de dîner vers 19H je n’avais que 1 heure pour me préparer, douche rapide, maquillage et habillage.

J’avais pour la soirée prévue, une robe moulante à sequins, de style glamour bleu marine unicolore. Le sequin est une perle en forme de disque utilisée à des fins décoratives qui recouvrait l’ensemble de ma robe, très élégant pour une soirée à l’opéra. La robe-crayon était moulante mais courte avec un col bateau et des manches amples longue bishop en tulle bleu contrainte ajustée aux poignets. J’avais un aspect une fois de plus époustouflant, espérant bien susciter à nouveau l’excitation de mon amant et lui faire retrouver des forces pour la fin de soirée. Alors que je finissais de me préparer et de me maquiller face au miroir de la salle de bain, il se rapprocha de moi par-derrière me prenant dans ses bras, et m’embrassant dans le cou. Ses baisers sur ma peau et ses mains sur mon corps me faisaient fondre de bonheur. Je retrouvais enfin l’amour et le désir d’une relation passionnelle après tant d’années de débauche sexuelle effrénée.
- Tu es magnifique, ma beauté, splendide, merveilleuse, tellement désirable !!!!
- Ohhhh Thierry, tu vas froisser ma robe, allons sois raisonnable.
- Hummmm, vivement, ce soir, je vais te prendre toute la nuit ma déesse. Ton corps et tellement appétissant, j’ai une envie folle de te baiser à nouveau.
Je retrouvais enfin l’amour et le désir d’une relation passionnelle après tant d’années de débauche sexuelle effrénée. Je le laissais faire tout en continuant à me maquiller, sentant le désir monter à nouveau en moi. Il me plaqua une grande claque sur les fesses comme pour marquer un temps de pause, et m’invita à sortir de la chambre et de rejoindre le restaurant. J’étais bouillante, il avait réussi en quelques minutes à m’exciter à nouveau et cherchait à redescendre en pression afin de profiter du repas.

Au sein du restaurant, nous étions installés côté Jardin dans la cour intérieure gothique, prêt à déguster la cuisine raffinée du chef s’inspirant des saisons pour offrir des mets inventifs, tout en revisitant la gastronomie bourguignonne traditionnelle. Après une coupe de champagne, le sommelier aiguilla Thierry dans son choix avec une bouteille de Vosne-Romanée se mariant parfaitement avec nos plats. Tartare de la mer en entrée et riz de veau avec mousseline de carotte, la cuisine était pleinement à la hauteur de la réputation du chef. Nous étions tous les deux face-à-face en amoureux loin de nos soucis du quotidien, se tenant la main pendant le repas comme deux jeunes amoureux. Après avoir pris un dessert rapide, Thierry commanda un taxi afin de se rendre à l’opéra.

L’Opéra de Dijon rassemblait deux salles prestigieuses dont l’une était le Grand Théâtre, salle à l’Italienne pour des productions d’art lyrique, de musique symphonique, de théâtre ou de danse. Inspiré de l’Antiquité classique, le Grand Théâtre avait une ornementation intérieure magnifique doté d’une salle à l’Italienne semi-circulaire, avec trois niveaux et des loges d’avant-scène et une capacité d’environ 700 places. Nous avions pris place au deuxième niveau côté droit au dernier rang, et Thierry m’expliquait l’historique du théâtre pour patienter.
- Tu vois ma chérie, les lustres sont en cristal de Murano et datent de 1900. Celui du plafond de la salle mesure presque 3 mètres de diamètre sur 1 mètre de hauteur, et pèse environ 700kg. La décoration du plafond de la salle est de Ciceri...
- J’adore t’écouter mon amour, et le spectacle ?
Il m’expliqua également les éléments du spectacle dans ses grandes lignes, c’était un véritable puit de culture. Beau, riche, intelligent, tendre et un amant merveilleux, j’avais retrouvé une perle rare... Un peu éloigné de la scène et avec une salle remplie au tiers, je lui demandais si on ne pouvait se rapprocher un peu.
- Tu crois qu’on peut avancer un peu, il n’y a pas grand monde.
- Non, restons-la si tu le veux bien, au moins on ne sera pas importuné par les bavardages des vieilles, rombières.
Le spectacle démarra enfin, plongeant la salle dans l’obscurité juste bercée par les accords de Brahms avec une musique baroques et classiques. N’étant pas une fan de musique classique, j’écoutais toutefois avec intérêt et respect, voulant démontrer aussi à mon amant mon intérêt pour cette musique. Il m’avait pris la main tendrement, me caressant les doigts avec tendresse, quant au bout de 10 minutes de spectacle, il poussa sa main sous sa veste qui était posée sur ses genoux, à la rencontre d’une forme longue qui durcissait au contact de mes doigts.
- Thierry, tu es fou !!!!!
- Chut beauté, profitons de ce moment
Il avait dégrafé son sexe et poussé mes doigts pour que je le prenne à pleine main et que je le masturbe discrètement.
- Doucement, ma belle, soyons discrets, et ne me fait pas jouir, je dois aussi me préserver pour la suite de la soirée.
Je le masturbais pendant une petite dizaine de minutes avant qu’il ne m’arrête, redoutant sûrement une explosion intempestive, qui aurait ruiné ses plans. Il posa sa veste alors sur mes cuisses me demanda de remonter ma robe et glissa sa main sous son vêtement. Il prit mon vagin de force au-dessus de la dentelle de ma culotte qu’il malaxa avec douceur. Il continua à me caresser de cette façon pendant toute la première partie du spectacle. Au début passive le laissant faire, je fus rapidement transportée par cette masturbation. Le lieu, la promiscuité, la musique, mais surtout l’effet de ses doigts entre mes cuisses me rendait folle. J’essayais de trouver des positions assises pour mieux supporter sa caresse, croisant mes jambes, les écartant, posant ma main au-dessus de la sienne afin de calmer son ardeur, mais je ne savais pas empêcher ce désir qui me brûlait le ventre. Il continua son travail de sape, pendant toute la première partie du spectacle, m’offrant une coupe de champagne à l’entracte, qui me permit de retrouver mes esprits. Il recommença de plus belle, pendant la seconde partie, mais avec plus d’ardeur. Il avait cette fois plongé sa main sous ma culotte et je sentais ses doigts jouer de mes lèvres vaginales aux bords de l’explosion. Il m’introduit un doigt, toujours camoufler par son veston posé sur mes cuisses et me masturba pendant toute la seconde période. Je me mordais les lèvres afin de ne pas faire de bruit, mais ce démon me faisait jouir. Alors que j’écoutais cette musique mélodieuse. Une berceuse qui était sans doute la mélodie la plus connue de l’œuvre de Brahms, d’une grande simplicité apparente, cette mélodie ponctuée mon plaisir avec l’accompagnement d’un piano subtil et délicat, et des accords syncopés qui apportaient un balancement propice à l’orgasme qui se dessinait. En public, protégé toutefois par la pénombre, j’étais comme une petite Jouvencelle fraîche et innocente qui se faisait déflorer par son marquis bercé par les accords de grands-maîtres baroques. À bout de souffle, je repoussais plusieurs fois son bras, mais après m’avoir laissé souffler quelques minutes, il revenait à la charge et me posséder à nouveau la chatte.

Arrivé au terme du spectacle, il me prit par le bras pour m’aider à sortir du théâtre. J’avais le corps en feu. Il venait de me masturber de la façon la plus érotique possible pendant presque 2 heures. Groggy, ayant perdu la notion d’espace et de temps, je repris enfin mes esprits dans le taxi qui nous attendait à la sortie de l’opéra, m’installant sur la banquette arrière, alors que Thierry donnait des instructions au chauffeur à l’extérieur. Une fois assis à mes côtés la voiture démarra.
- J’ai demandé au taxi de nous faire faire une petite visite nocturne de la ville avant de rejoindre l’hôtel.
- Quelle idée charmante tu es merveilleux d’attention
- Alors tu as apprécié le spectacle.
- Comment dire j’ai eu un peu de mal à me concentrer à partir de la dixième minute, mais je dirais que c’était plutôt surprenant, et inattendue. Je n’avais pas envisagé le classique de cette manière.
- Hummmmm, quelle belle mélomane tu es, viens près de moi.
Il m’attira à lui et m’embrassa avec passion. Sa langue plongeait dans ma bouche entre mes lèvres, me possédant dans une fusion buccale merveilleuse. Il m’embrassait tout en promenant ses mains sur ma robe en sequin... Après une séance masturbatoire à l’opéra, j’avais droit à un baiser fougueux dans le taxi, qui faisait le tour de la ville. Il me parlait à voix basse m’annonçant le programme de la fin de soirée.
- On va rentrer à l’hôtel ma belle, et je vais te baiser, tu as envie que je te prenne comme une bête dis-le moi.
- Rentrons, et fais-moi l’amour, je veux te sentir en moi, je veux ton sexe entre mes cuisses, tu m’as rendu folle, tu m’as excitée comme une dingue... Je suis toute humide maintenant...
- Oui ma belle, on va rentrer et je pourrais aussi profiter de ton petit trou, j’ai envie de t’enculer, comme la dernière fois...
- Ohhhhh Thierry, je ne suis pas trop fan, et tu es trop gros, je peux te donner tant d’autres choses que mon petit trou, tout mon corps est à toi....
Après 20 minutes de baisers, de caresses et de messe basse, le taxi nous déposa enfin à l’hôtel, nous souhaitant une bonne fin de soirée avec un grand sourire. Une fois à l’intérieur de l’hôtel, nous prenions l’escalier afin de regagner notre suite. Seuls dans ce grand escalier en bois de nature un peu médiéval, nous montions main dans la main, comme deux tourtereaux, quand Thierry me poussa contre le mur de pierre apparente, dans un recoin isolé et tranquille.
- Embrasse-moi beauté, je veux ta bouche.
- Ohhhhhhh, Hummmmmm
Sans attendre, il replongea sa langue gourmande dans ma bouche jouant avec mes lèvres et ma langue avec érotisme. Ses mains étaient sur mon corps, essayant de remonter ma robe. Je résistais, poussant par la même son excitation à son extrême.
- Montre-moi tes beaux dessous ma belle salope, montre-moi comme tu es belle.
- Non, non, non, pas ici, tu auras le droit de voir à l’intérieur de la chambre pas avant
Je lui avais réservé une surprise de choix, dans la sélection de mes sous-vêtements, et souhaitais préserver la surprise jusqu’à la chambre. Étrangement docile, il m'embrassa à nouveau, pour finir par m'entraîner par la main dans notre chambre. Il me poussa à l’intérieur et referma derrière lui, et alors qu’il était contre la porte, je me mis à genoux, et lui dégrafais le pantalon pour faire apparaître son énorme sexe qui avait retrouvé toute sa vigueur. Sans une parole, je le pris dans ma bouche l’avalant en entier, alors que Thierry avait posé ses mains sur mes cheveux comme pour guider mes mouvements de tête et accen cette fellation.
- Ohhhhhhh, Ouiiiiiiiii Tu es vraiment la meilleure des suceuses.... Oui, vas-y pompe moi la bite, tu en meurs d’envie depuis qu’on a quitté l’opéra. Ouiiiii comme ça suce-moi bien comme une glace. Ohhhhhhhhh.
Je continuais ma fellation m’appliquant à lui démontrer toute ma grande expérience, qu’il avait l’air d’apprécier tout particulièrement. À genoux devant lui avec son sexe dans ma bouche, j’étais dans un autre monde. Isolé et protégé de mes soucis du quotidien, je profitais pleinement de ce moment intense d’émotion, de romantisme et d’érotisme... Je mangeais son sexe comme une affamée, quand il me releva, me poussant vers le petit bureau en levrette, remontant ma robe pour enfin découvrir mes dessous chics.
- Montre-moi comme t’es belle maintenant, je veux voir ton beau cul...
Libérant mon gros cul de ma robe, il dévoila enfin mon string et mes porte-jartelles rouge de la collection de lingerie Soir de Venise de la marque Lise Charmel. Le modèle était transparent en dentelle Leavers de Calais agrémenté de délicates broderies haute-couture, travaillée avec raffinement tel un bijou d'exception. Rehaussé de strass, cela m’apportait l'élégance et la sensualité avec un string hautement suggestif un porte-jartelles raffiné mettant mes cuisses et jambes au sommet de la passion et un soutien-gorge push-up avec un le petit nœud à l'entre bonnet. Le soutien-gorge push-up rapprochait mes seins donnant un visuel de mon buste époustoufflant avec un décolleté renversant. Il me caressa mes fesses pendant quelques minutes scrutant avec appétit mes sous vetements et jouant avec les bretelles de mes portes jartelles. Sa main passait en dessous de mes bas en nylon me palpant les cuisses.
- Tu sais ce qu’on fait aux petites Jouvencelles qui se comporte mal dans mon monde ?
- Ohhhhh non, dites-moi tout Monsieur le Comte...
- On les punis, et toi, tu as été très vilaine à l’opéra en te conduisant comme une vulgaire catin. Tu n'as pas honte, tu veux recevoir ta punition.
- Ohhhh oui Monsieur le Comte, je mérite une grosse fessée...
- Je vais te faire rougir ton gros cul, jusqu’à ce qu’il ait la même couleur que tes sous-vêtements ma salope, tu veux bien ....
- Oui Monsieur le Comte, je suis à vous....
Il m’appliqua une grande claque et une autre et encore une. Il me fessa alternativement de la gauche vers la droite, tapant fort et faisant résonner les claques dans notre chambre. Je me pinçais les lèvres afin d’éviter de crier, et subissais cette punition qui m’excitait au plus au point. Il me retira entièrement ma robe, me dévoilant en sous-vêtements rouges, me redressant debout au milieu de la chambre. Il me prit mes gros seins à pleine main, les malaxant, les tripotant, les secouant, les tétant, l’un et puis l’autre. Il conservait mon soutien-gorge comme une marque fétichiste et abusait de mon corps, jouant avec, faisant glisser ses mains sur ma poitrine voluptueuse...
- Hummmm j’adore tes gros seins, beauté. Ils n’étaient pas si gros dans mon souvenir, 3 s, je suppose que ça t’a aidé à prendre du volume comme une bonne laitière... Dis-moi que tu as envie que je te baise maintenant, supplie-moi...
- Ouiiiiii, prends-moi baise moi....
Il me poussa sur le lit en levrette et me pénétra d’autorité. Sa grosse bite en moi me laboura pendant quelques minutes alors que cette main accrochée à mes portes jarretelle continuaient à me marteler mon gros cul de claque régulière... Je sentais son doigt aussi me titiller mon petit trou malgré mon interdiction. Perdue dans mes orgasmes et mon désir furieux, je le laissais faire, n’espérant qu’une chose qu’il me fasse jouir de bonheur et de plaisir... Son doigt s’était enfoncé et jouait avec mon anus comme une préparation à un ultime assaut qui se rapprochait.
- Tu sais que je vais te démonter ton gros cul maintenant, dis-moi que tu veux que je t’encule, demande-le-moi gentiment.
- Ohhhh Thierry prend moi l’anus, sodomise-moi s’il te plaît, tout de suite.
Son sexe s’enfonça dans mon anus bien profond solidement ancré, et il me laboura le petit trou, tel un colosse une brute, un animal, un prédateur. Il me souleva me prenant par la taille, et se releva. Il me tenait en dessous des cuisses assises sur ses bras en équilibre, mais surtout fixé à son bâton de chair qui me soulevait à chaque mouvement de hanches. Il me sodomisait dans cette position debout au milieu de la chambre me portant comme un vulgaire sac de sable. Ses bras passaient sous mes cuisses me tenait en position assise alors que ses grosses mains me tenaient par les jambes, profitant également de cette position pour me claquer de temps en temps mon gros cul.
- Dis-moi que tu aimes avoir ma bite dans ton gros cul de bourge.
- Ouiiiiii, Ohhhhh, Hahhhhhhhhhh
- Oui continue comme ça danse sur mon membre ma cochonne
- Hummmmm Thierry !!!!!!!!!
- Dis-moi que tu es une grosse pute, et que tu rêvais que je te baise le cul depuis la dernière fois...
- Hoooooooooooooo
- Oui c’est bien bouge ton gros derche la roturière, les bourges parvenues comme toi adore se faire démonter par de vrais aristos...
- Hoooooooooo, Thierry..... Ouiiiiii, continue............. Plus fort !!!!
Il continua de m’enculer me recouchant sur le lit latéralement alors que lui toujours derrière utilisait ma croupe. J’étais folle, possédée par mon amour de jeunesse, cet amant hors norme, et je savais que j’allais me donner corps et âme. Il m’avait déjà pris une première fois dans la voiture, masturbée pendant plus de deux heures à l’opéra, et maintenant abusait de mon anus, me violant le cul dans cette chambre d’hôtel luxueux. Je jouissais, gémissant sous le bâillon de sa main qu’il avait posé sur ma bouche afin d’atténuer le bruit. Il alternait sa queue entre mon anus et mon vagin me baisant ou m’enculant de façon hystérique, tel le chasseur, le prédateur que j’avais aimé à 25 ans, et dont je retombais amoureuse 30 ans plus tard.

Je gémissais me lamentais, étouffant mes cris sous l’oreiller afin de ne pas ameuter les clients de l’hôtel, alors que je sentis enfin son liquide se vider en moi dans mon anus. Il continua de me pilonner afin de vider la plus petite goutte, et s’écroula sur moi, me tenant avec passion et m’arrachant un dernier baiser. Il était 1 heure du matin et nous restions blottis tous les deux l’un contre l’autre sans dire un mot, avant de s’endormir enfin dans les bras l’un de l’autre, alors qu'une journée chargé nous attendait le lendemain.

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